fe3-tich3

"On ne vit pas mal, c'est une contradiction."

Dimanche 11 avril 2010 à 17:54

Cette chanson te correspondait tellement! HAHA j'en rigole tellement maintenant. je n'aime pas les "j'aurai du" mais là, j'aurai du "we fight we break up" and stop. No more. Mais bref, ce qui est fais est fais. Ce qui n'est pas fais ne peux plus être fais, et tant pis. Maintenant, j'en est tellement plus rien a faire.

Lundi 29 mars 2010 à 23:25

Oh Dieu! Non, je ne prie pas! Je m'exclame! Le temps passe trop vite en ce moment, et cela me donne la simple envie de me terrer sous terre. Un peu comme une autruche. Je suis en retard, très en retard. Trop de chose a faire. Et chaque matin, je rêve du moment où je vais sombrer dans le sommeil. En parlant de sommeil... :) Bonne nuit!


Mercredi 24 mars 2010 à 0:20

A vrai dire, je ne sais pas trop quoi écrire. Mais j'ai envie une nouvelle fois. Et puis oui, un blog c'est fais pour ça, alors j'en profite. Je ne sais pas si c'est l'arrivé des beaux jours, la lumière tamisé de ma ruelle, ou la musique douce dans mes oreilles (peut être l'ensemble des trois), mais je me retrouve là. Jouché sur le sol de mon petit 17m² carré humide, je me retrouve a regarder le plafond. Je suis seule avec cette musique qui me fais vibrer jusqu'à la pointe de mes cheveux. Mes yeux se perdent dans ma lampe plafonnière. A dire vrai, je me sens bien. On pourrait croire que je suis défoncée, mais non, c'est encore mieux. Je vis simplement. J'ai envie de rester ici des heures, à me laisser encore partir dans mon imagination. Je rêve bien trop. Parfois je me perd. J'ai peur et je suis heureuse. J'ai envie de pleurer. Pitié je veux fuir. Mais rester aussi. Que faire quand on sais que la vie peux nous détruire? Je n'ai pas encore 20 ans et on m'a déjà mis en garde. Toutes les souffrances que j'ai connu, ce n'est rien à ce qui m'attend. Comme si quelqu'un était arriver, m'avait agriper par les épaules et m'avait dit :"Attention ma belle, tu as toujours ces rêves de gamines, mais pers les vite. Tu n'aime pas faire souffrir les gens, mais on va te le faire, crois moi, et sans aucune pitié, ni même regret. On jouera de toi, de tes sentiments et plus encore. Profite de pouvoir garder les yeux fermer, dans tes rêves, tout est si beau." Pitié, me dite pas que c'est comme ça. Je me refuse d'y croire et de continuer d'avoir un discours défaitiste. Alors j'arrête et reprend la où mes penser ce sont stopper. Pas de regret. Beaucoup de patience et de compassion. Donner sans attendre en retour. Apprendre de ses erreurs. Se relever et marcher. Il n'y a que ça a faire. Même la peur au ventre, continuer. Je ne sais plus quoi dire. La fatigue m'emporte, mais la peur me tiens éveiller.

Je n'ai plus rien à dire. Je dois dormir :)

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Mardi 16 mars 2010 à 16:39

Puis-je revenir un peu vous racontez ma pauvre vie? En fait, vous n'avez pas le choix. Pour une fois que je peux me plaindre sans devoir écouter les reproches, ou quoi que ce soit d'autre. Que c'est agréable. Aussi bon que de se descendre un paquet de Fingers devant un épisode de Friends. A peu près ouais.

<3

Vendredi 12 février 2010 à 22:41

Normalement, les étudiants (en tout cas la majorité) sortent le vendredi soir. Bah, moi pas. Pas celui là en tout cas. 22H, je sors de ma douche, je prend mon ordi, mon téléphone portable android tactile clavier azerty que j'aime (non je me la pète pas! héhé), mon bouquin de Kandisky, et je monte dans mon lit de 120 cm de large. J'ai jamais eu aussi grand avant. C'est bien, il est génial, mais tout le monde s'en fou (ou presque). J'ai les yeux gonflés, lourds. J'ignore les traces de moisissure dans le coin du mur, je diminue le thermostat de mon chauffage, et je file sous la couette. J'en peux plus. Cette année me crève, Paris me fatigue, le froid ne me réveille pas. C'est bientot les vacances, et quelle vacances! Oh oui, travailler pendant deux semaines, mais je dois bien faire ça. C'est que j'ai envie de réussir. L'alcool ne m'aime plus autant que l'an dernier. J'ai la gerbe facile. Surement la fatigue! De toute façon je ne sors presque plus. Et je m'en fou. C'est fatiguant rien que de penser aux- minimun- 30 minutes de trajet pour aller dans un bar. Penser a surveiller l'heure du dernier métro. Au moins dans les petites villes, tu sors a 1h du mat' (normal!), tranquil, et ADVIENNE QUE POURRA! QUI VIVRA VERRA. Tu sais pas trop dans quel bar/club/ami tu va finir, et c'est tout bonnement génial. Mais je ne connaitrai peut-être plus ça. M'enfin c'est pas bien grave.

Kandisky m'attend a côté de moi. Et Dieu sait à quel point je n'ai pas envie de l'ouvrir. Mais je le dois. Que c'est rigolo. Allez, dans exactement une semaine, je m'approcherai de ma chère et tendre maison familial du sud. J'aime ça, j'adore!

Enfin bref, je suis vraiment trop fatiguée pour continuer. Je vous aime, et cette journée fut si belle malgrès le froid! :)
Bonne nuit <3
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